Je m’appelle Jean Pierre Vaz torres et j’ai 60 ans. Ma vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille : ballotté de nourrices en pensions, de pensions en internats, je me suis retrouvé seul à 17 ans, avec, en poche, pour tout diplôme scolaire, un certificat d’études primaires. Se sont alors enchaînées plusieurs années de labeur, pendant lesquelles j’ai enchaîné petits boulots et jobs divers dans des usines. Sans famille et sans attaches, j’ai suivi le parcours qui avait été tracé pour moi. À 23 ans, j’intègre le corps des sapeurs-pompiers. J’y resterai 35 ans, jusqu’à ma retraite. Dans ce milieu à la fois difficile, mais tellement humain, j’ai découvert ce qui, pour moi, correspondait le mieux à l’esprit de famille. J’y ai trouvé le réconfort nécessaire à la réalisation de mon plein potentiel. J’ai peu à peu gravi les échelons de la profession, jusqu’à devenir officier. C’est dans ce cadre que j’ai fait mes premières armes en tant que responsable de formation. Partager mon savoir et mes connaissances avec un public de professionnels m’a permis d’acquérir l’assurance nécessaire à la tenue de conférences et autres sessions de coaching. L’interaction que je ressentais avec mon public, m’a montrée que j’avais plus à donner. Passionné de développement personnel, j’ai entrepris plusieurs démarches pour commencer à évoluer vers plus de bien-être. Je me suis formé au coaching avec David Lefrancois (Institut des Neurosciences Appliquées), aux relations humaines avec Jacques Salomé, à l’Ennéagramme avec Eric Salmon. J’ai enchaîné formations et conférences sur le thème du développement personnel, et c’est après avoir assisté à une conférence de Jacques Salomé dont le titre était : « Comment être un bon compagnon pour soi », que j’ai compris que le bonheur n’est pas extérieur à soi. J’ai compris qu’en dépit de ses origines, quelle qu’elles soient, connues ou inconnues, il ne sert à rien de chercher qui l’on est dans le monde extérieur. Il suffit de partir à la recherche de soi-même, à l’intérieur de soi-même pour y trouver le bonheur ! C’est le sens que nous donnons aux événements qui nous rend malheureux. Le bonheur, lui, est toujours en nous, plus ou moins bien caché, plus ou moins bien accessible. Il ne tient qu’à nous de le laisser s’exprimer et nous toucher. Pour moi ce qui est important, c’est d’entreprendre les actions, même infimes, qui contribueront à un monde meilleur. Et pour cela, autant commencer par soi ! C’est pourquoi l’Ennéagramme est un outil de développement personnel que j’affectionne plus particulièrement. Simple d’utilisation, facile à comprendre, il permet de mieux se connaître pour apprendre à mieux vivre en relation avec les autres. Son utilisation et ses domaines d’application sont variés et pratiquement illimités. Vous pouvez, grâce à cet outil, améliorer votre vie de couple, vos relations amicales et professionnelles, travailler avec des enfants, etc.. Seul ou en complément d’autres méthodes de développement personnel, c’est l’instrument idéal pour s’ouvrir au bonheur.